Jacques

Directeur délégué aux formations dans un lycée ; aujourd’hui, retraité

« Je me sentais en sécurité car j’étais entouré de gens responsables »

Pourquoi as-tu poussé la porte de Gajoubert ?

J’ai pratiqué le tir à l’armée pendant cinq ans puis dans différents clubs. J’ai arrêté à la naissance de mes enfants, mon emploi du temps étant bien rempli entre vie de famille et vie professionnelle.

A la retraite, j’ai repris le tir.
Souhaitant me procurer un pistolet, je suis venu à la Salle d’armes de Gajoubert. J’ai été reçu par François qui est armurier. Il m’a expliqué les conditions de détention d’une arme. Il était accueillant, professionnel. Il m’a proposé de m’entraîner à Gajoubert. J’ai alors rencontré Hugues. Et me voici l’accompagnant sur le stand de tir pour suivre le cours sur la sécurité !

Qu’est ce qui t’a particulièrement marqué ?

D’avoir été immédiatement intégré à l’équipe.

Puis la pédagogie dont fait preuve Hugues. Il vous met à l’aise, vous donne confiance. Je suis convaincu par ses principes de sécurité.
Son postulat est qu’une arme est toujours chargée d’où l’obligation de faire attention à la direction du canon, à la position du doigt et d’être toujours attentif à son environnement. Tous ceux qui viennent s’entraîner à Gajoubert doivent respecter ces principes.

L’après-midi, j’ai rejoint les membres présents qui tiraient sur différents types de cible.

Je me sentais en sécurité car j’étais entouré de gens responsables.

Qu’est ce que tu apprécies dans cette activité ?

Le tir est un sport qui demande de la concentration, de la rigueur ; il me détend.
Le pratiquer à Gajoubert est un plus. Les encadrants vous accompagnent avec bienveillance. Il y a du partage, on se prête les armes, on se donne des conseils. Bref, nous formons une équipe.

Nous déjeunons ensemble. Au menu, accompagnant de bons plats, de la convivialité.

Mon objectif, ne pas rater un samedi à Gajoubert !

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