Nicolas

Métallier 

« A Gajoubert, si j’étais un poisson, je me sentirais comme dans l’eau,
pas comme grimpant à un arbre ! »

Pourquoi as-tu poussé la porte de Gajoubert ?

J’ai toujours été attiré par les armes, sans jamais oser dépasser cette attirance du fait de mon éducation.

Prendre mon téléphone, aller aux renseignements auprès du stand a été compliqué tellement j’angoissais à l’idée de tomber sur un état d’esprit à l’encontre de mes valeurs. J’ai finalement passé le cap et j’ai tout de suite été plus que rassuré.

Qu’est ce qui t’a particulièrement marqué ?

J’ai immédiatement été surpris par la bienveillance et l’humilité des instructeurs. Beaucoup, voire toutes mes croyances préétablies vis-à-vis des armes ont été balayées.
Certaines phrases raisonneront toujours en moi, notamment : « on est là avant tout pour se faire plaisir, pour progresser vis-à-vis de soi-même ». C’est l’état d’esprit que je me permettais d’espérer et que j’ai trouvé, ici, à Gajoubert.

Qu’est ce que tu apprécies dans cette activité ?

Ce que j’apprécie, ce sont les manipulations des armes et l’analyse du résultat des conséquences de celles-ci.
La compétition – je déteste ce mot -, vis à vis de soi-même si l’on en désire une, sans démonstration d’ego.

Ici, si j’étais un poisson, je me sentirais comme dans l’eau, pas comme grimpant à un arbre !

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