Camille

Professeure des écoles 

« Si je devais tirer ailleurs qu’à Gajoubert, j’y prendrais beaucoup moins de plaisir »

Pourquoi as-tu poussé la porte de Gajoubert ?

Mon père s’y entraînait. Je le voyais revenir de ses séances heureux et détendu. J’ai décidé de l’accompagner pour faire un essai.

Qu’est ce qui t’a particulièrement marqué ?

J’appréhendais le regard des autres, je craignais d’être jugée. Au final, rien de tout cela. Romain et Hugues ont été à mon écoute.
Au début j’avais du mal à viser. Heureusement mes deux profs se sont vite rendu compte que si j’étais droitière, pour autant mon œil directeur était le gauche. Ca a tout de suite été mieux !

J’ai cependant préféré faire trois séances d’essai pour être sûre de moi.
Puis comme tirer me faisait du bien et que je me sentais à l’aise dans l’ambiance chaleureuse de Gajoubert, j’ai pris ma licence.

Qu’est ce que tu apprécies dans cette activité ?

Je me stresse facilement. Je pense sans arrêt à toutes sortes de choses, mes pensées se bousculent. Bref, je suis très nerveuse.

Le tir m’apporte du bien-être. Quand je m’entraîne, je me concentre, je fais le vide. Tout glisse. Je profite pleinement du moment présent.

Je repars zen, sereine, avec une bonne fatigue, pleine d’énergie positive.

Et ce dont je suis certaine, c’est que si je devais tirer ailleurs qu’à Gajoubert, j’y prendrais beaucoup moins de plaisir.

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